jueves, 24 de septiembre de 2020

Rama-yana

 "El Rama-Yana es el prototipo literario mejor conservado alusivo a esa gran guerra entre los pueblos de la Buena Ley (magos de la derecha) y los de la Mala Ley (magos de la izquierda). Por lo mismo que en él se habla de la lucha entre hombres solares y lunares de la Atlàntida, lucha perpetuada después entre los arios y los restos de los pueblos que sucumbieron en la gran catàstrofe."

(Mario Rosso de Luna," El simbolismo en las religiones del mundo y el problema de la felicidad")



Ra-ma

Ar-io


Ra, Ar: Sol, solar

(Dios Ra egipcio) 

Rama-Krishna


Io: lunar


Rama-yana: el robo de Sita

-robo de Europa

-robo de Helena en la Iliada






sábado, 1 de agosto de 2020


Hoy soñé que estaba en una mansión extensa, en una de sus habitaciones en el suelo, entre escombros amontonados, encuentro una puerta. Luego ésta aparece encajada en el marco del portal, es arqueada, de cristal amarillento, por el que se transparenta ténuamente la luz, en el cristal tiene grabados uno o dos caduceos. La casa está rodeada de un amplio jardín.


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La era del petróleo tiene también su vertiente simbólica; el petróleo son cadáveres orgánicos en descomposición, por lo que se saca un aspecto cadavérico del fondo de la tierra. Quemándolo se volatiliza a éste, se esparce. El uso de éste es poder acelerar sin límite la movilidad, y producir todo tipo de plásticos para los usos más inverosímiles, se envuelve todo en muerte. Pero no se recapacita, que quien juega inconscientemente con la muerte, al final acaba ahogándose en ésta.


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La era de las energías renovables vuelve su cara hacia el dador de vida, el sol. (También, en potencia, la posibilidad de profundizar esta actitud espiritualmente. El sol, un ser viviente).

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Die materialistische Wissenschaft ist der Aberglaube des 21sten Jahrhunderts.

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La luz que brilla sobre los brotes frescos de las plantas, tiene semblanza acuosa.

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La agua celeste. (Dentro del aire).

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miércoles, 10 de junio de 2020















Nous nous souviendrons toujours...


"Le mémorial qui précède comporte 141 notices concernant, de manière individualisée, 200 victimes brûlées, dont 168 sont précisément nommées; une trentaine d'autres, exécutées sur les mêmes bûchers, demeurent anonymes. Une soixantaine de Spirituels franciscains et de Béguins, de même que les 200 Cathares de Vérone, ne sont toujours pas identifiés. Ainsi au total, plus de 460 victimes sont évoquées ici, dont 168 nominativement.

Il convient de le rappeler, en respect de tant de souffrances demeurées anonymes, ces quelque cinq cents suppliciés ne sont qu'une faible partie des milliers de martyrs assassinés par la Chrétienté durant un peu plus d'un siècle. Toutes les silhouettes humaines esquisées dans les notices précédentes, et finissant sur le bûcher, sont pathétiques. Certaines, cependant, particulièrement itoyables, révèlent incontestablement, de la part des hommes d'Église, instruits et priviégiés, qui les condamnèrent á cette fin atroce, une degré de haine, de sadisme, et surtout d'inhumanité, qui ne saurait d'expliquer autrement que par une collusion délibérée avec la réalité du Mal.

Qu'il s'agisse de femmes éperdues se dissimulant comme des bêtes traquées dans la campagne, chasées avec les meutes réquisitionnées des châtelains, de vieillards inoffensifs emprisonnés depuis des décennies, de gens simples et d'artisans ignorants des dogmes, de malheureux brûles vifs en spectacles offerts aux princes du siècle ou de l'Église, de frères Mineurs montés sur le bûcher uniquement pour avoir voulu demeurer fidèles à la Règle de l'Ordre fondée par François d'Assise et approuvée par les Papes d'alors, tous ces crimes justifient les Cathares lorsqu'ils désignaient, dans la Mère de pareilles oeuvres, l'Église de Satan.

Vers 1970, le Chancelier d'Allemagne fédérale, Willy BRANDT (1913-1992), eut le courage et la noblesse d'aller s'agenouiller à l'entrée du Camp d'extermination d'Auschwitz pour reconnaître les crimes de son pays. Et pourtant, il en était personnellement innocent, car lui-même, opposant à l'Hitlerisme, avait dû s'expatrier, dès 1933, pour lutter contre cette horreur.

Alors que nous abordons le XXI siècle, l'Église catholique n'a jamais accompli le moindre geste pour reconnaître ses crimes et en demander humblement pardon. Pourtant, ses Papes -voyageurs, qui s'appliquent tellement à donner des spectacles publicitaires, devant des masses humaines curieuses ou naïvement attendries, en s'agenouillant sur les terres visitées et en baisant le sol, ne manqueraient pas de sites, de Vérone au Mont-Aimé, en passant per Béziers, Lavaur, Minerve ou Montségur, pour exprimer le "mea-culpa" de la Secte romaine. Bien au contraire, les écrivains catholiques stipendiés, les Dominicains de Fanjeux, Toulouse ou ailleurs, et tous les inconditionnels du passé monstrueux de l'Église, s'appliquent ouvertement ou, le plus souvent, insidieusement, à déformer l'image du Catharisme et à tenter de justifier, plus ou moins implicitement, le génocide qui parvint à l'éliminer socialement.

Certes, si l'Église reconnaissait -longuement organisés par ses Pontifes suprêmes et toute sa hiérarchie- les crimes qu'elle utilisa pour construire et développer sa puissance, sa prétention à être une institution exclusive d'origine et d'inspiration divines, s'écroulerait à la face du monde. Mais elle s'est déjà écroulée, et elle s'écroule toujours plus, dans les consciences de millions d'êtres humains qui ont suffisamment le sens de leur responsabilité pour examiner sérieusement l'histoire dont ils sont les héritiers.

Cependant, le refus de toute contrition officielle de la part de l'Église catholique montre qu'elle demeure une institution dangereuse, prête à réactiver sa tyrannie, dès lors qu'elle serait moins contenue par l'option laïque de la societé civile. Et d'ailleurs, accomplirait-elle aujourd'hui son "mea culpa", il serait sans aucune valeur, car beacoup trop tardif. Elle montrerait seulement, une fois de plus, qu'au lieu d'éclairer l'évolution de la conscience humaine, elle n'est qu'un gros et lourd parasite à sa remorque; indépendamment, bien sûr, de la valeur évangélique et morale de nombreuses personnes de bonne volonté qui se considèrent "à l'intérieur de l'Église."


(José Dupré, "Catharisme et Chrétienté. La pensée dualiste dans le destin de l'Europe.") 






jueves, 28 de mayo de 2020

Agartha und das himmlische Jerusalem


"Also, vesteht mich aber recht, in der Höhe befindet sich das neue Jerusalem, Jeruschalaïm Hadascha, von dem der Evangelist Johannes spricht, und Agartha befindet sich in den unteren Regionen. Wir, die Menschen, befinden uns zwischen beiden. So wird das neue Jerusalem herabkommen und Agartha wird aufsteigen, und das Reich Gottes unter den Menschen sein. So wie das himmlische Jerusalem ist auch Agartha ein Begriff des inneren Lebens. Auf Agartha spielten die Alchimisten in dem Wort VITRIOLUM an, von dem jeder Buchstabe den Anfang eines Wortes darstellt, was folgenden lateinischen Satz ergibt: Visita Interiora Terrae Rectificando Inveniens Occultum Lapidem Veram Medicinam (auf deutsch: Besuche die innere Erde, beim Richtigstellen findest du den verborgenen Stein, die wahre Medizin, das wahre Heilmittel). Agartha, das ist auch diese innere Erde, die es zu besuchen gilt. Denn der Mensch ist nach dem Vorbild des Universums aufgebaut, und alles, was ausserhalb von ihm existiert, das existiert auch in ihm."

(Omraam Mikaël Aïvanhov, "Der Wassermann und das goldene Zeitalter")



Die Kirche Johannes


"Erinnert ihr euch an das, was Jesus ganz am Schluss zu Petrus sagte? Dieser fragte ihn in Bezug auf Johannes: "Was wird aber aus diesem, Herr?" Da antwortete Jesus: "Wenn ich will, dass er bleibe, bis ich komme, was geht es dich an?" Und im Evangelium heisst es weiter: "Es ging nun die Rede unter den Jüngern um: Jener Jünger stirbt nicht." Nehmen wir nun einmal an, Johannes lebe noch an einem unbekannten Ort. Seine Kirche hat eine Elite ausgebildet, die im Geheimen tätig ist und durch die Jahrhunderte hindurch das esoterische Wissen gehütet hat. Diese Kirche wird eines Tages in Erscheinung treten. Die Religion des Heiligen Johannes, das ist die neue Religion, die kommen wird. Und die katolische, protestantische oder orthodoxe Kirche mag dann nur dagegen angehen, wie sie es ja auch in der Vergangeheit schon getan hat, um die Kirche des Heiligen Johannes auszulöschen. Doch auch dieses Mal wird es genauso wenig gelingen wie damals.

Alle Eingeweihten der Vergangenheit, die die Reinsten waren und das grösste Wissen besassen, waren Schüler des Heiligen Johannes. Und die anderen in den offiziellen Kirchen aber, die deren Überlegenheit weder akzeptieren noch ertragen konnten, haben nie aufgehört, sie zu verfolgen. Jene Kirche aber, die ständig im Geheimen leben und wirken musste, bildet weiterhin Söhne und Töchter Gottes aus. Und nun wird sie offen vor die ganze Welt treten, um ihre Überlegenheit und ihre grossen Schätze zu zeigen. Dann wird die Kirche Petri genötigt sein, ob sie mag oder nicht, sich zu wandeln und zu reformieren. Zwar gab es auch in dieser Kirche einige hoch entwickelte Menschen, aber die anderen, welchen Beschäftigungen sie auch nachgegangen sind, darüber reden wir besser nicht! Anstatt zu begreifen, dass sie weiterhin etwas lernen mussten, Fortschritte machen mussten, haben sie lediglich jene verfolgt, die sie übertrafen."


(Omraam Mikaël Aïvanhov, "Der Wassermann und das goldene Zeitalter")






martes, 5 de mayo de 2020

Das Werk und die Tätigkeit


"Wir müssen doch unterscheiden das Werk und die Tätigkeit, die der Mensch verwendet hat, die Tätigkeit, die irgendein Wesen verwendet hat, um eine Arbeit, ein Werk oder irgend etwas, was sich als Schöpfung bezeichnen lässt, um das zustande zu bringen. Der äusseren Welt der Gestalten und Formen ist das Werk hingegeben, und in dieser äusseren Gestalt ist das Werk auch dem Schicksal dieser äusseren Gestalten verfallen, dem Entstehen und Vergehen. Aber Tätigkeit, die Tätigkeit, die sich im Wesen selbst begibt, dasjenige, was dazumal vorging in der Seele eines Raffael oder eines Michelangelo,  als er seine Werke schuf, diese Tätigkeit ist auch dasjenige, was die Seele sozusagen wiederum in ihr eigenes Wesen hinein zurückzieht, das ist die Tätigkeit, die in das Werk nicht ausgeflossen ist. Wie ein Siegelabdruck im Siegel, so ist diese Tätigkeit in der Seele geblieben; und damit kommen wir auf etwas, was in der Seele unvergänglich bleibt. Denn betrachten wir den Michelangelo einige Zet nachher. Ist an ihm seine Tätigkeit fruchtlos vorübergegangen? Nein! Diese Tätigkeit hat beigetragen zur Erhöhung seiner inneren Fähigkeiten, und tritt er an ein neues Werk heran, so schafft er nicht nur damit, was vorher in ihm war, sondern er schafft aus jener Kraft, die erst enstanden ist durch seine Tätigkeit an früheren Werken. Seine Kräfte sind erhöht, sind befestigt, bereichert worden durch seine erste Tätigkeit. So schafft die Tätigkeit der Seele neue Fähigkeiten, die wiederum im Werk sich umsetzen, wiederum tätig werden, wieder in die Seele sich zurückziehen und Kräfte zu neuer Betätigung geben. Keine Tätigkeit der Seele kann verlorengehen. Was die Seele als Tätigkeit entwickelt, ist immer der Ursprung, die Ursache zu einer Erhöhung des seelischen Wesens, zur Entfaltung neuer Tätigkeit."


"Das lebendige wird immer wieder und wieder geboren; was aber nicht aufhört, das ist die Tätigkeit, die sich immer erhöht, steigert, die unvergänglich ist."


(Rudolf Steiner, "Spirituelle Seelenlehre und Weltbetrachtung")



Pain suprasubstantiel - pain quotidien



"Lorsque'il (Bernhard de Clairvaux) visite le convent du Paraclet, communauté de moniales dont l'abesse est HELOÏSE, l'abbé de Clairvaux constate, au cours de la liturgie, que le Pater est récité en dissant:  "Donnez-nous aujourd'hui notre pain suprasubstantiel."; il s'en étonne et regrette que ne soit pas utilisée la formule de "pain quotidien", généralement adoptée par l'Eglise. ABÉLARD, qui avait organisé la vie au Paraclet selon la Règle bénédictine, averti de sa remarque, écrit à BERNARD que, dans la Vulgate:

"La version de Matthieu lui a paru préférable à celle de Luc, parce que le premier avait appris le Pater de la bouche de Jésus-Christ, tandis que le second ne pouvait la tenir que de Paul, qui lui-même n'avait pas entendre le Sauveur."

(ABÉLARD: Oevres, II, 5)

C'est un fait qu´à la même époque et, vraisablablement, bien avant, les Cathares emploient déjà l'expression "pain suprasubstantiel", mais celle-ci n'a rien "d'herétique", même au sens le plus romain; elle est conforme, au contraire, à la tradition originelle censée remonter a JESUS, mais BERNARD est irrité par son usage, simplement parce qu'elle se réfère à une manière de sacrament, purement spirituel, entre le fidèle et le monde invisible qui échappe aux autorités terrestres contrôlant le "pain quotidien"."

(José Dupré, "Catharisme et Chrétienté. La pensée dualiste dans le destin de l'Europe.")



"San" Bernardo de Claraval - Abelardo.


"...y Abelardo, con el alma aterrorizada, teniendo clara conciencia de que el abad de Claraval va a comenzar un combate a muerte contra él. Martin Deutsch caracteriza mediante profundas observaciones la desventajosa posición del doctor bretón en lucha "con un hombre cuya influencia sobre las autoridades civiles y eclesiásticas no tiene límite..." Él (Abelardo) también, destaca el crítico alemán,  es célebre, admirado. Pero ¿quiénes son sus admiradores? Una muchedumbre de letrados, dispersos aquí y allá en la sociedad, pero que en su mayoría, no ocupan sino puestos secundarios; estudiantes que expresan con mucho alborozo sus alabanzas, pero que no hubiesen podido hacer por él absolutamente nada. Su fama es grande, y, apoyado por algunas de las verdaderas potencias de este mundo, sería él también una de ellas, y muy considerable. Pero sin un apoyo semejante, ¿qué es? Un alma sin cuerpo, absolutamente incapaz de protegerse contra las potencias reales, efectivas, que podrían asociarse para perderlo."

(Pedro Lasserre, "Abelardo contra San Bernardo")

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"Ce sera le grand abbé de Cluny, PIERRE le Vénérable, recueillant ABÉLARD épuisé par les persécutions de BERNARD de Clairvaux qui, malgré sa pondération contumière, finira par dire crûment sa vérité á ce dernier:

"Vous remplissez les devoirs pénibles et difficiles, qui sont de jeûner, de veiller, de souffrir, et vous ne pouvez supporter le devoir facile qui est d'aimer."

(PIERRE le Vénérable: Livre de Cluny. T.VI ép 4, p897)"

(José Dupré, "Catharisme et Chrétienté. La pensée dualiste dans le destin de l'Europe.")





Verlangende Seele - liebende Seele


"Sie können das noch in anderer Weise verfolgen. Die Seele ist zunächst ein verlangendes Wesen. Die Seele ist erfüllt von Sympathie und Antipathie, von der Begierdenwelt, von der Welt des Verlangens. Der Geist aber zeigt nach einiger Zeit der Seele, dass sie nicht bloss zu verlangen hat. Wenn die Seele durch den Entschluss des Geistes das Verlangen überwunden hat, dann ist sie nicht untätig, dann strömt ebenso wie aus der unentwickelten Seele das Verlangen strömt, aus der entwickelten Seele die Liebe.Verlangen und Liebe, das sind die beiden entgegengesetzten Kräfte, zwischen denen sich die Seele entwickelt. Die noch in Sinnlichkeit, in äusserer Gestalt verstrickte Seele ist die verlangende Seele; die ihren Zusammenhang, ihre Harmonie mit dem Geiste entwickelnde Seele ist diejenige, welche liebt. Das ist dasjenige, was die Seele in ihrem Laufe von Wiedergeburt zu Wiedergeburt führt, dass sie von einer begehrenden, verlangenden Seele zu einer liebeneden Seele wird, dass ihre Werke Werke der Liebe werden."

(Rudolf Steiner, "Spirituelle Seelenlehre und Weltbetrachtung")




martes, 24 de marzo de 2020

El castillo interior - Le Château Intérieur.



"Pero nos queda un camino secreto, añade Schopenhauer, para entrar como a traición y por sorpresa en la fortaleza del conocimiento, ese castillo encantado y simbólico de que nos hablan todos los libros de Caballería, y es el Nosce te ipsum del Templo, el conocimiento intuitivo y místico de la divinidad latente en nuestro Ego interior, el "Cristo en el hombre", que diría San Pablo: en una palabra, la expresada realidad sin sombra de ilusión, velo o maya; conocimiento abstracto, inefable e íntimo, que no puede germinar en nuestra conciencia sino de un modo inmediato o sin representaciones, como alma de las ideas innatas, de Leibniz."

(Mario Roso de Luna, "El tesoro de los lagos de Somiedo")

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"Ce quatrième cercle est l'enceinte du Château Intérieur. Il faut passer par les portes de cette enceinte et demeurer au-dedans de ces murs pour accéder à l'Initiation. Initiation signifie à la fois introduction et commencement , C'est l'introduction au dedans et le commencement de la Vie nouvelle."

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"Le châtiment de cette erreur-péché qui consiste à se prendre pour son corps, c'est que cette erreur devient une réalité, tout simplement. Ça suffit. Tu t'es pris pour ton corps... eh bien! tu l'es!... Tu es un corps et tu iras oú vont les corps, sous terre!...

Et l´âme? N'ai-je pas une âme immortelle? Oui, tu as une âme immortelle. Tu as une âme. Seulement, tu n'es pas âme.
L'Ecclésiaste dit: "Ce qui est poussière retourne á la poussière, ce qui est esprit retourne à l'esprit." Mais attention! Toi, toi! Est-ce que tu y retourneras? Pour y retourner, il faut t'installer dans le véhicule avant le départ. Il ne faut pas manquer le coche!"

(Lanza del Vasto, "La vie intérieure")

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"Étimologie possible de Persona: de Sonare, sonner, et de Per, à travers. La Personne? Ce à travers quoi sonne une signification. Dieu veuille que ce soit vrai!"

(Lanza del Vasto, "La vie intérieure")


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Per-sona ; Par-zival


Ese castillo dentro del ego. Antes a través de ese valle hondo.






Le renversement - die Wiederumkehrung


"Le jour de la conversion est le jour où l'ou remarque avec stupeur que tout est à renverser, et ce renversement de toutes choses c'est de les remettre à l'endroit."

(Lanza del Vasto, "Approches de la vie intérieur")

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Nach der wieder Wiederumkehrung aller Werte, sind diese erneut in ihrem Ursprungszustand.


martes, 7 de enero de 2020

Mani and the Pyrenees. The catholic church.


"In examinig the connections among the Gnostics, the Manichaeans an the Cathars, we should not forget that all the old Mysteries...flowed into Christianity through the instructions of Mani... (We) must... see that it was the archangel Michael who, after revealing himself in India as Indra, and in Persia as Mithra, was the leader of the Manichaean "elect" and of the Catharic "Christians". It was Michael whose light, like a flashing sword, dispelled the dragon's darkness."

(Déodat Roché)

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"After the incarnation of Manes, a great spiritual conference takes place in which Manes participates. In connection with this, Rudolf Steiner calls him "...a sublime emissary of Christ". In preparation for the consciousness soul, this sublime messenger of the Christ-being enters into the Parzival incarnation. He is the great Sun initiate. When he passes through nature, the beings of nature receive his imprint. The result is something people can still experience today. When travelling through the Pyrenees, people are strangely moved. Why? Rudolf Steiner says there are Grail elemental beings everywhere in this area. They descend from the slopes of the Pyrenees, and they can be found in the mountains of Catalonia and Spain. Parzival, and those who came after him, impressed upon nature the character of the Grail, the mood of the Grail."

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"It is characteristic of Innocent III that he set out very specific tasks for the Catholic Church. We could ask, just as Rudolf Steiner did, "What in fact, is the task taken on by the papacy after the great epoch I just discussed -the tenth, eleventh and twelth centuries-? What has been the mission of the papacy since that time? The mission of the papacy in the Catholic Church is essentially to prevent Europe from recognizing the reality of the Christ. It is a matter of more or less consciously founding a Church which had as its task a complete missunderstanding of the true Christian impulse, preventing the true impulse of Christianity from becoming known among the people." Allow me to repeat: even after this period, the Church still had many true saints, true knowers of Christ, but it also pursued this mission of the organized Church. "Europeans have accepted a Christianity that is no Christianity, and one of the significant results of this is the absolute impossibility of speaking today about the Christian Mysteries. There is nothing that can be done about this; lengthy preparations will be required to make it possible to speak of these Mysteries again.""

(Virginia Sease, Manfred Schmidt-Brabant, "Paths of the Christian Mysteries: From Compostela to the New World")